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Contre les infections ? Un simple bain de pieds chaud

Voici une expérience oubliée que Pasteur a réalisée. Il a inoculé le choléra à des poules. La moitié a eu les pattes plongées quelque temps dans l’eau froide ; pendant que l’autre moitié a eu les pattes plongées dans l’eau chaude. Les premières ont toutes eu le choléra et sont mortes ; les secondes n’ont eu aucun trouble. Que s’est-il passé ? Le docteur Alexandre Salmanoff l’explique dans son ouvrage (nouvelle édition Médavi) « Les Mille Chemins de la guérison ».

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Du plâtre et de l’eau, vous êtes soigné

Ce remède naturel, car il s’agit bien d’un remède (universel !), est tombé dans l’oubli.

Platre = Calcium + Soufre : les deux piliers de la santé

Dilué dans de l’eau, ce composé de calcium et de soufre (et d’oxygène bien sûr) agit sur les nombreux métabolismes impliquant calcium et soufre avec des effets bénéfiques immédiats sur la peau et le système ostéo-articulaire.

Bien employé, le plâtre va agir sur :

  • les douleurs ostéo-articulaires (lombaires, dorsales, entorses, etc.),
  • la capacité de marche,
  • la qualité du sommeil,
  • les digestions difficiles,
  • les règles douloureuses,
  • la congestion oculaire,
  • la santé de la peau,
  • et de près ou de loin tous les métabolismes du corps.

Il y a de quoi rester dubitatif… et pourtant : tout bon chimiste connaît l’importance du calcium dans la physiologie du corps humain.

Un soin quotidien pour quelques centimes d’euros

Pour tirer profit du plâtre, il suffit tout simplement d’en délayer quelques grammes dans un peu d’eau.

Voici la recette telle que l’a donnée un génial chimiste de la santé naturelle, Philippe Perrot-Minnot (ingénieur géologue de formation)* :

  1. Procurez-vous du plâtre, tout simple, en magasin de bricolage. Du « plâtre de modelage » ou du « plâtre de Paris ». Il vous en coûtera à peine plus d’1 € le kilo.
    Peu importe la marque, à condition de vérifier que le produit soit garanti 100% sulfate de calcium (genre « Toutprêt », entre autres).
  2. Pour un bain de pieds ou de mains, prévoyez 3 cuillères à soupe de plâtre pour 5 à 8 litres d’eau. Le plâtre se dilue à raison de 3 g par litre et la solution est efficace quelle que soit la température.
  3. Pour une application locale, prévoyez en proportion en diluant le plâtre dans une soucoupe par exemple.

Trois rituels faciles

Rien de tel pour commencer qu’un bain de pied.
Relax, installez-vous devant un récipient où vos pieds seront à l’aise dans 5 à 8 litres d’eau (tiède de préférence). Le niveau d’eau doit pouvoir couvrir vos chevilles.
Versez les 3 cuillères de plâtre, remuez, diluez. Pensez à garder un tissu éponge près de vous.
Plongez vos pieds dans l’eau en bougeant doucement les orteils. Au bout de 10 mn de détente et de sensation de douceur, laissez-les sécher naturellement quelques minutes sur le tissu éponge. Une fois les pieds secs, faites ce que vous voulez mais n’essuyez surtout pas le léger dépôt sur votre peau car il va continuer à agir.

Pour des applications locales aux mains et aux poignets.
Pour des douleurs intenses localisées (articulations), appliquez un petit « film » de plâtre humecté d’eau (comme un badigeon blanc) sur l’endroit douloureux. Laissez agir un quart d’heure (le plâtre agit quand il est humide).

Le masque au plâtre
Sur les joues, le front et le visage… Le masque soulage les yeux fatigués en les décongestionnant (il active l’oxygénation de la sclérotique, le blanc de l’œil) et embellit la peau. Le tour est joué en trois-quarts d’heure !

Une efficacité immédiate

Essayez, cela ne coûte rien : vous allez vite constater un meilleur sommeil (parfois dès le premier soir) et assez rapidement (souvent sous huitaine) un soulagement de vos douleurs.

L’effet peut même être spectaculaire sur des douleurs ostéo-articulaires chroniques ou chez des personnes qui ont du mal à marcher.

Un préalable utile

10 mn avant de préparer votre soin, avalez une pincée de sel puis buvez, gorgée par gorgée, de l’eau plate. Lorsque vous ne sentez plus la sensation de soif (quand vous avez bu la quantité correspondant à la pincée de sel), votre organisme est prêt à recevoir du calcium : il se jettera alors dessus et réagira immédiatement.

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Monter les escaliers sans être étouffé

Pierre Gardelle,  par son esprit d’observation a mis au point diverses méthodes de soins, ainsi que des techniques spéciales dans le domaine du sport. Par exemple, une méthode pour monter les étages sans être essoufflé.

De fait, en montant d’un bon pas, il est « normal », même en étant en bonne forme, d’être essoufflé voire hors d’haleine en arrivant en haut. Pierre Gardelle partait du principe que lorsque l’on s’essouffle, on est déjà en état d’asphyxie. Si l’effort persiste, on ne peut plus rattraper ce retard d’oxygène. La seule façon d’éviter cela, c’est de respirer et de souffler à fond juste avant l’effort (en bas de l’escalier). La méthode est magique et l’on peut ainsi monter longtemps avec facilité. Je vous conseille d’essayer pour en être convaincu.

 

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Un miroir pour effacer la douleur « membre fantôme »

Boite miroirLa technique du miroir pour venir en aide au corps ne nous semble pas une méthode très conventionnelle. Pourtant c’est une technique scientifique issue des travaux du Docteur Vilayanur Subramanian Ramachandran, neurobiologiste, directeur du Centre de recherche sur le cerveau et la cognition à l’université de San Diego Californie.

L’objectif est de désapprendre au cerveau la perception de la lésion grâce à une réalité virtuelle. Dans le cas du membre fantôme, l’amputé souffre de son membre par des sensation douloureuses. Le miroir crée l’illusion virtuelle que l’amputé a récupéré son membre ou que le paralysé a retrouvé un membre normal mobile et sans douleur. En répétant l’exercice du miroir le patient fini par modifier son image corporel et ne ressent plus les sensation douloureuses.

Comment cela est il possible ?  Le contrôle des mouvements volontaires est réalisé par les cortex moteurs du cerveau. Les influx nerveux cheminent jusqu’aux muscles et le mouvement s’effectue. Une boucle de rétrocontrôle est activée et informe le cervelet et les lobes pariétaux, qui comparent l’intention et l’exécution. Dans le cas du membre fantôme, quand le patient décide de bouger son membre fantôme dans le miroir, le cortex moteur ne sait pas que le membre manque, alors que le patient le sait. Les ordres de bouger sont ressentis comme un mouvement car contrôlé par le lobe pariétal qui contient notre image du corps. Une autre hypothèse : la zone de l’aire du cerveau correspondant au membre amputé  n’est plus normalement stimulée par les nerfs périphériques. Les zone adjacentes, qui correspondent à d’autres partie du corps on tendance à coloniser la zone laissée sans stimulation. L’exercice du miroir stimule à nouveau cette zone  et ralenti voir élimine la colonisation.

Il peut paraître invraisemblable d’envisager que l’on puisse utiliser une illusion visuelle pour éliminer une perception sensorielle construite dans notre cerveau… et pourtant, les résultats sont là !